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Cette étude fait partie des annales des prix Ig Nobel : “Les prix Ig Nobel couronnent les recherches scientifiques ou développements technologiques qui font d’abord rire les gens et les font ensuite réfléchir. Ces prix ont pour but de rendre hommage à l’originalité et d’honorer l’imagination — ainsi que d’attiser l’intérêt des gens pour la science, la médecine et la technologie”.

Vous êtes prévenue… je laisse place à Patrick Roonquel de L’Institut Sacre bleu (Ashville, Caroline du Nord) :

Stress oxydatif

Dans cet article, nous présentons des preuves inflexibles que l’augmentation du stress oxydatif est un mécanisme de déclenchement primaire qui sous-tend la montée et la chute du Troisième Reich.

Les effets du stress oxydatif sur les membranes cellulaires :

Les membranes cellulaires, endommagées par le stress oxydatif, s’appauvrissent souvent en phospholipides, les privant des constituants gras essentiels qui leur assurent une bonne flexibilité et perméabilité. Comme les niveaux de phospholipides diminuent, la barrière cellulaire se dessèche pour se rigidifier. Dans les tissus des articulations, les espèces réactives à l’oxygène réagissent en synergie avec les médiateurs inflammatoires de la membrane synoviale, provoquant des synoviocytes pour subir une apoptose (mort cellulaire programmée) prématurée des cellules. Ces mécanismes ont été spécifiquement liés au développement de la raideur articulaire chronique. Les données cliniques, de cette raideur articulaire dans le Troisième Reich, se voient clairement dans la preuve photographique historique de la période de temps (voir Figure 1 ci-dessous).

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Les effets du stress oxydatif sur les mitochondries :

L’augmentation du stress oxydatif sous-tend aussi des mécanismes de neurodégénérescence fréquemment observés dans la pathogenèse de la démence. Le dommage oxydatif des mitochondries provoque une diminution des niveaux d’ATP (adénosine triphosphate), en interférant avec le transport du glucose aux cellules dans le cerveau. En conséquence, les neurones, privés de leur essentiel "carburant" dont elles ont besoin, meurent affamées, provoquant l’apparition de la démence. Des preuves anecdotiques suggèrent que Hitler était dément.

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Considérations nutritionnelles :

Il y a plusieurs facteurs qui ont rendu le Troisième Reich particulièrement sensible aux extrêmes complications débilitantes du stress oxydatif. Le régime alimentaire traditionnel allemand est notoirement anti-antioxydant, composé principalement de bière, de graisse animale, de pain, de boulettes de viande, de nouilles, de bretzels, de pommes de terre, de pâtes, de bière, de viande de bœuf, de porc, et encore plus de pain, des aliments connus pour promouvoir l’augmentation de la glycation des protéines et le stress oxydatif.

En outre, la méthodologie traditionnelle de la cuisine allemande exige que tous les légumes soient complètement bouillis pendant au moins 3-4 heures avant la consommation, détruisant ainsi, complètement, toutes les traces d’antioxydants et d’autres nutriments viables. Ce qui ne peut être accompli par une sur-cuisson se fait à travers un processus d’acidification : pendant le long processus de fermentation pour faire la choucroute, le chou perd au moins 50 à 60% de sa teneur en antioxydants naturels.

Considérations statistiques :

Ceux qui doutent de cette théorie doivent se rappeler que le stress oxydatif est lié à une mortalité élevée et les statistiques montrent clairement que le taux de mortalité parmi les membres du Troisième Reich était beaucoup plus élevé que chez les Suisses, plus en forme.4

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Considérations physiologiques :

La raideur articulaire causée par le stress oxydatif dans l’armée allemande aurait nécessité encore plus d’effort physique dépensé au cours du processus normal de la marche (encore une fois, voir la figure 1) un entrainement excessif chronique et la libération des catégories réactives de l’oxygène.

En fin de compte, ce cercle vicieux synergique du stress oxydatif ne pouvait qu’aboutir à une démence, la production de radicaux libres conduisant à la conquête du monde.

Conclusion :

Nous croyons que si l’armée allemande avait disposé d’un apport optimal en antioxydant durant les années 1930, il est fort probable que la Seconde Guerre mondiale aurait pu être évitée, ou du moins considérablement réduite.

Nous recommandons que, pour l’avenir, l’Organisation mondiale de la santé et l’Organisation des Nations Unies envisagent une intervention conjointe avec une administration de masse d’acide ascorbate, de vitamine E et de mélatonine dans les conflits régionaux et les points chauds à travers le monde, afin de prévenir la réapparition d’une guerre mondiale.

A partir d’Improbable Research, qui se charge chaque année d’attribuer des prix aux scientifiques qui ont présenté une certaine excentricité de par leur recherche où création (ici, ma description des dernières récompenses attribuées) : Oxydative Stress.

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