Les grizzlis préfèrent les sentiers de randonnée des humains
Les grizzlis semblent être attirés par les sentiers de randonnée empruntés par les humains en Amérique du Nord, avec un nombre disproportionné d’ours croisant des randonneurs alors qu’ils ont le reste d’un parc à parcourir. Une nouvelle étude menée par The Company of Biologists (Royaume-Uni) explique pourquoi, en montrant que les pentes maximales fixées par le service des parcs nationaux américains sont idéales pour les ours comme pour les humains.
Les chercheurs ont examiné des grizzlis captifs dans un enclos spécialement conçu, avec des tapis roulants pouvant être ajustés à différentes pentes.
Selon Anthony Carnahan, principal auteur de l’étude (lien plus bas) :
Les grizzlis sont des animaux avec lesquels il est étonnant de travailler. Tant que vous respectez ce dont ils sont capables, que vous ne les surprenez pas et que vous leur laissez de l’espace, ils sont en fait assez prévisibles.
L’équipe a suivi la consommation d’oxygène des ours alors qu’ils avançaient d’un pas lent sur les tapis roulants, encouragés par une occasionnelle friandise à la pomme, administrée à travers un mur pour protéger les chercheurs et selon Carnahan :
La partie la plus stressante de la récompense consistait à s’assurer que la tranche de pomme ne tombait pas et que l’ours ne se retournait pas sur le tapis roulant pour aller la chercher.
Les chercheurs ont constaté que les ours avaient besoin de beaucoup d’énergie pour monter et descendre des pentes abruptes et qu’ils avaient tendance à choisir des chemins dont la pente ne dépassait pas 10 %, un peu comme les humains.
L’étude publiée dans le Journal of Experimental Biology : Quantifying energetic costs and defining energy landscapes experienced by grizzly bears.
Les grizzlis semblent être attirés par les sentiers de randonnée empruntés par les humains en Amérique du Nord, avec un nombre disproportionné d’ours croisant des randonneurs alors qu’ils ont le reste d’un parc à parcourir. Une nouvelle étude menée par The Company of Biologists (Royaume-Uni) explique pourquoi, en montrant que les pentes maximales fixées par le service des parcs nationaux américains sont idéales pour les ours comme pour les humains.
Les chercheurs ont examiné des grizzlis captifs dans un enclos spécialement conçu, avec des tapis roulants pouvant être ajustés à différentes pentes.
Selon Anthony Carnahan, principal auteur de l’étude (lien plus bas) :
Les grizzlis sont des animaux avec lesquels il est étonnant de travailler. Tant que vous respectez ce dont ils sont capables, que vous ne les surprenez pas et que vous leur laissez de l’espace, ils sont en fait assez prévisibles.
L’équipe a suivi la consommation d’oxygène des ours alors qu’ils avançaient d’un pas lent sur les tapis roulants, encouragés par une occasionnelle friandise à la pomme, administrée à travers un mur pour protéger les chercheurs et selon Carnahan :
La partie la plus stressante de la récompense consistait à s’assurer que la tranche de pomme ne tombait pas et que l’ours ne se retournait pas sur le tapis roulant pour aller la chercher.
Les chercheurs ont constaté que les ours avaient besoin de beaucoup d’énergie pour monter et descendre des pentes abruptes et qu’ils avaient tendance à choisir des chemins dont la pente ne dépassait pas 10 %, un peu comme les humains.
L’étude publiée dans le Journal of Experimental Biology : Quantifying energetic costs and defining energy landscapes experienced by grizzly bears.