Une histoire vrai que GuruMed se devait de traiter pour la science…
Mike était un poulet ordinaire, qui eut la chance de vivre une vie de star (pour un poulet). Gambadant joyeusement dans une ferme des États-Unis (colorado, 1945), son heure fut venue et le fermier dût accomplir son œuvre macabre de décapitation. Le commanditaire de cet assassinat aimait à se délecter du coup des poulets, il demanda donc au fermier de trancher Mike au raz de sa tête.
Après avoir été laissé pour mort, le lendemain matin son bourreau qui voulait honorer sa commande, se rendis dans la basse-cour pour récupérer le corps normalement inerte de Mike. Qu’elle ne fut pas sa surprise de le trouver dormant avec les autres poulets, le coup rentré sous son aile, le fermier put aussi constater que Mike essayait de picorer ou de nettoyer ses plumes.
Face à ce phénomène hors du commun, le propriétaire, pris de pitié ou plutôt par l’appât du gain que pourrait lui apporter ce poulet zombi, se décida à essayer de le conserver en vie, en prenant soin de lui et en le nourrissant à l’aide d’une pipette. Il ne fallut pas longtemps pour transformer, Mike, en poule aux œufs d’or, la nouvelle se répandit et on venait de toute la région, après avoir versé une modique somme à son propriétaire, pour observer le poulet mort vivant. L’affaire était si juteuse que le poulet fut assuré sur la vie pour 10 000 $.
La raison pour laquelle Mike put continuer à survivre résidait dans l’attribution généreuse de son cou, qui lui laissa une fine souche de cerveau, ainsi que de nombreux autres facteurs malheureusement non élucidés scientifiquement à l’époque.
L’explication selon le Wikipédia anglais (Mike the Headless Chicken) : A été déterminé que la hache avait manqué l’artère carotide et un caillot avait empêché Mike de saigner à mort. Bien que la plupart de sa tête a été sectionnée, une grande partie de son tronc cérébral et une oreille a été laissé sur son corps. Comme les fonctions de base (respiration, rythme cardiaque, etc) ainsi que la plupart des actions réflexes d’un poulet sont contrôlés par le tronc cérébral, Mike a réussi à rester en bonne santé.
Mike continua à grandir, chouchouter, telle une vedette de cinéma il parcourut, ainsi, les États unis. Enclin à l’étouffement, malgré les soins prodiguer pour nettoyer l’intérieur de son coup, il mourut 18 mois après sa décapitation.
La volonté de vivre de Mike reste une source d’inspiration pour les Américains(!!??!!).
Conclusion : Il s’agit d’un grand réconfort de savoir que vous pouvez vivre une vie normale, même après avoir perdu votre esprit…
Wikipédia anglais : Mike the Headless Chicken.
Un site à bien sûr été créé, pour vénérer la mémoire de Mike : Mike : The headless chicken.
Bonjour,
J’avoue être des plus perplexe : comment un animal peut il survivre aussi longtemps, se déplacer, essayer de picorer ou de nettoyer ses plumes avec pour ainsi dire aucun cerveau ?????! Et ceci pendant 1an et demi ?!!!!
Et la seule preuve de ce fait ce sont des photos…
Sur ce coup là, je serai un peu comme St Thomas : j’aurai bien voulu le voir pour le croire… parce que là, j’y crois treeeees moderement.
Ne serait ce pas une de ces fameuses legende urbaine ??
Bonjour Sined,
J’avoue avoir écrit cet article pour le « fun » comme on dit chez les D’jeunes,
les infos (bizarres) sont pour moi, réels, j’ai rajouté le lien wikipédia Mike the Headless Chicken en anglais, je cite : « the bird was taken by his owner to the University of Utah in Salt Lake City to establish its authenticity », consulte aussi les quelques vidéos à disposition sur YouTube … Mes sources sont également, habituellement, fiables.
Maintenant, si cette histoire se révélait fausse, on aura passé un bon moment à imaginer un poulet sans tête faire son œuvre ;-).
PS : j’ai rajouté l’extrait du Wikipédia anglais qui donne plus de précision scientifiques sur son cas :
A été déterminé que la hache avait manqué l’artère carotide et un caillot avait empêché Mike de saigner à mort. Bien que la plupart de sa tête a été sectionnée, une grande partie de son tronc cérébral et une oreille a été laissé sur son corps. Comme les fonctions de base (respiration, rythme cardiaque, etc) ainsi que la plupart des actions réflexes d’un poulet sont contrôlés par le tronc cérébral, Mike a réussi à rester en bonne santé.
Bonjour,
Je suis tomber sur cet article en lisant le « silence des machines » relatant un article sur une technique mise en œuvre (encore a l’état d’étude) par des étudiants britannique afin de pouvoir élever des poulet sans cortex cérébral et alimentés par des tuyaux ! (http://lesilencedesmachines.noblogs.org/)
Le but de cette étude est de pouvoir produire une volaille sans quelle prenne ni de place, ni d’énergie superflu !
Je voulais juste revenir sur le fait que les animaux que nous élevons pour notre alimentation sont avant tous des êtres vivants qui ont besoin de temps et de matière bien spécifique pour se développer …
Ne me dites pas qu’un poulet élever en batterie à les même valeur nutritive qu’un poulet élever en pleine air comme nous le certifie c**** de Cohen nutritionniste de M6 !
Alors posez vous simplement la question de savoir d’où viennent toute ces maladies qui nous entoure ( cancer, malformation …. )
Quand les gens auront compris que les aliments comme les nuggets ou les steaks haché de hamburger de Mc Donald’s c’est de la MERDE avec un grand M, et que leur bien être alimentaire passe aussi par le bien être des animaux élevé pour la viande, ils auront tous compris ! Je tiens aussi à dire que je ne fais pas, ici l’apologie ni du végétarisme, ni de tous ces illuminé qui pense qu’acheter bio c mieux ! mais plutôt celle de la bonne bouffe comme on pouvais encore la trouver chez nos grand parents a la ferme .
Pour exemple : Aujourd’hui les gens ne boivent plus de lait entier car ils ne le digère pas ! Mais vous croyez que dans le temps les gens achetais du lait écrémé chez lactel ??????
Alors si je peut me permettre, si c’est pour sortir de tel étude que les étudiant en agronomie alimentaire on bac +15 je pense très franchement qu’il aurait du faire un CAP agricole.
A bientôt
un épicurien respectueux de ce que la nature lui offre !
Le bio est -marginalement- mieux à condition d’avoir la liste des ingrédients ; beaucoup de produits bio sont aussi nocifs que les produits ordinaires, mais par chance on trouve encore dans cette industrie des produits ou n’ont pas été rajoutés trois tonnes de produits chimiques ou de la palme. Souffrant de graves problèmes de santé ayant pour conséquence indirecte de rendre la plupart des additifs courants toxiques pour moi car mon corps ne sait plus rien filtrer, j’apprécie fortement l’existence de l’industrie bio. 🙂
Quand au lait, dans le temps, et encore de nos jours dans de nombreux pays, les gens ne boivent pas du tout de lait passé l’enfance. Nous perdons *naturellement* les ferments qui permettent de le digérer, et les amateurs de lait entier les renouvellent *artificiellement* ( levures, yaourts, fromages frais etc ). Boire du lait passé l’enfance n’est pas naturel. En revanche, autant pour raisons alimentaires que pour la conservation, souvent les peuples transforment le lait en fromages, laissant la fermentation bactérienne faire le travail de rendre les protéines digestes pour notre espèce.
Pour l’élevage en batterie, ça sera la norme future, par nécessité. Vu le nombre d’humains sur Terre, on ne pourra pas nourrir tout le monde avec des moyens normaux. Cependant, la volaille n’est pas la solution, le rendement nourriture/viande n’est pas assez bon. Le vrai avenir pour la survie de notre espèce, c’est la viande d’insectes. Les insectes produisent incroyablement plus de viande que les mammifères ou la volaille par kilo de fourrage, avec l’avantage supplémentaire que leur éloignement génétique par rapport à nous rends la transmission de maladies bien plus difficile que pour les bovins ou pire, le porc ( qui est tellement proche de nous qu’on peut faire des greffes d’organes de porc pour maintenir les patients en vie le temps de trouver un donneur humain ).
Pour finir, Épicure certes désignait la recherche du plaisir et du bonheur comme le plus grand but de l’existence, mais nous mettait spécifiquement en garde contre la nourriture et l’alcool, car l’excès mène à de graves conséquences et une mauvaise santé. Épicure, contrairement à ce que croient les gens qui n’ont pas pris la peine de le lire, ne fait pas l’apologie de la débauche et de la gourmandise. Non, son but c’était le plaisir à long terme, marqué par la sérénité et la tempérance, et accomplis par la modération plutôt que par l’excès. Vous n’êtes pas un épicurien.
Marrant cet article mais il confond orthographiquement le « coup » dans la gueule, au raz du « cou » à la mode Louis XVI.