Je commence cette semaine, beaucoup plus sérieusement que je ne l’ai terminé la semaine dernière (Peniplus)…

Google a fait une révélation étonnante ce samedi : l’existence d’un projet secret de voiture qui s’autopilote. Encore plus étonnant : il est en test depuis des mois, sur des routes réelles à travers la Californie et le système semblent bien fonctionner.

Ces voitures, 6 Prius et une Audi TT, utilisent un logiciel d’intelligence artificielle capable de détecter tout ce qui se trouve près de la voiture et d’imiter les décisions prises par un conducteur humain.
Avec quelqu’un derrière le volant pour reprendre le contrôle, si quelque chose va de travers et un technicien sur le siège passager pour surveiller le système de navigation, sept voitures d’essai ont conduit 1500 km sans intervention humaine et plus de 225 000 km avec le contrôle occasionnel de l’homme. Le seul accident, selon les ingénieurs, c’est produit lorsqu’une voiture Google a été emboutie à l’arrêt, à un feu rouge.

Les voitures autonomes sont encore loin d’être produites en masse, mais si ça arrivait, cela modifierait nos vies aussi profondément que l’Internet l’a fait.
Ces conducteurs robotisés réagissent plus vite que les humains, ils ont une vue sur 360 degrés et pourraient permettre de sauver bien des vies selon leur concepteur qui précisent que la technologie pourrait doubler la capacité des routes, en permettant aux voitures de conduire plus prudemment tout en étant proches. Parce que les voitures robot seraient finalement moins susceptibles de tomber en panne, elles pourraient être plus légère, ce qui réduirait la consommation de carburant.
Le programme de recherche Google, en utilisant l’intelligence artificielle pour révolutionner l’automobile, est la preuve que les ambitions de l’entreprise vont au-delà du moteur de recherche que l’ont connait.
Ces véhicules s’adaptent aux limitations de vitesse pour chaque route qui sont incluses dans sa base de données. Le dispositif, Lidar placé sur la voiture, produit une carte détaillée de l’environnement couplé avec les données GPS.
Lors des tests secrets, les voitures n’ont pas trop attirer l’attention, les gens pensaient qu’ils s’agissaient de la prochaine génération de voitures Street View que Google utilise pour prendre des photos et recueillir des données pour ses cartes.

Une des secrètes voitures de Google, remarquer par un conducteur, il y a des mois de cela :

Le projet est le fruit de la collaboration de Sebastian Thrun, le directeur du Laboratoire d’intelligence artificielle de Stanford, un ingénieur de Google et le co-inventeur du service de cartographie Street View.
En 2005, il a dirigé une équipe d’étudiants de Stanford et des membres du corps professoral dans la conception de la voiture robot Stanley, qui remporta le deuxième Grand Challenge de la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), avec un prix de 2 millions de dollars du Pentagone pour la conduite autonome sur plus de 200 Km dans le désert.
Outre l’équipe de 15 ingénieurs qui travaillent sur le projet actuel, Google a embauché plus d’une douzaine de personnes, chacune avec un impeccable dossier de conduite, pour s’asseoir sur le siège du conducteur et payées 15 $ de l’heure ou plus.
Les chercheurs ont déclaré que la société Google n’a pas encore de plan précis pour créer une entreprise susceptible de produire en quantité un tel engin.

Google n’est pas la seule société à tester ce procéder, une équipe Allemande, TU Braunschweig laisse faire le GPS, les lasers et des capteurs pour guidés une Volkswagen qui errent dans les rues de Brunswick sans aide humaine..

La démonstration en vidéo, vous permettra d’avoir une idée sur cette technologie identique à celle de Google qui l’a teste depuis des mois : 

 

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