Une nouvelle étude constate une augmentation spectaculaire de l’abondance d’un ver qui peut être transmis aux humains amateurs de sushis, 283 fois plus depuis les années 1970.
Mais est-ce dû à une meilleure détection ou à une réelle augmentation ? Et quelles en sont les implications pour l’homme et les mammifères marins ?
Le ver Anisakis se trouve naturellement dans une variété d’espèces de poissons marins et de calamars. Ils mesurent moins de 3 cm de long…