Le patrimoine archéologique est jonché d’excréments, une mine d’or potentielle pour les connaissances sur la vie passée en matière de santé et d’alimentation, l’évolution des parasites, l’écologie et l’évolution du microbiome.
Les coprolithes désignent des excréments qui avec le temps se sont fossilisés (minéralisé) et les paléoféces d’anciens excréments humains, tout deux souvent trouvés dans le cadre de fouilles ou d’enquêtes archéologiques.
Le problème pour les chercheurs a toujours été de déterminer à qui/ à quelle espèce appartiennent les matières fécales qu’ils examinent…
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