De nouvelles recherches ont révélé que les motifs zébrés de peintures corporelles peuvent réduire jusqu’à 10 fois le nombre de piqûres de taons qu’une personne peut recevoir. Bien que ce ne soit pas leur but explicite dans les communautés indigènes, pour le premier auteur de l’étude, ces tatouages peuvent être considérés comme une « adaptation à leur environnement ».
Image d’entête, à partir de l’étude : une sélection de modèles typiques de peinture corporelle de différentes tribus africaines. (Horvath et col./ Université Eotvos Lorand)
Les tribus indigènes d’Afrique, d’Australie et d’Asie du Sud-Est ont d’anciennes et riches traditions de body-painting…
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