Les amoureux du BDSM ont une meilleure santé mentale que les pratiquants de la sexualité vanille

Les personnes qui se livrent à des pratiques sexuelles relativement perverses, impliquant des choses telles que le bondage et le sadomasochisme, pourraient être en meilleure santé mentale que celles qui ne les pratiquent pas, selon une nouvelle étude. Il est donc temps de (res)sortir fouets et menottes.