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Des macaques peuvent vivre jusqu’à deux ans avec des reins de porc génétiquement modifiés

Des macaques peuvent vivre jusqu’à deux ans avec des reins de porc génétiquement modifiés

Selon des chercheurs, un macaque ayant reçu un rein de porc génétiquement modifié a survécu pendant plus de 2 ans, ce qui constitue une étape clé dans l’utilisation d’organes d’animaux transplantés chez les humains.

Comme l’indique une étude publiée la semaine dernière (lien plus bas), les chercheurs ont eu recours à l’édition génétique sur des porcs miniatures pour s’assurer que leurs organes, une fois prélevés, n’hébergeraient pas de virus dormants ou ne seraient pas attaqués par les primates receveurs après la transplantation…

Le premier dispositif permettant de surveiller en temps réel l’état de santé d’un organe transplanté

Le premier dispositif permettant de surveiller en temps réel l’état de santé d’un organe transplanté

Un minuscule capteur, dont la taille ne dépasse pas celle du bout d’un doigt, pourrait changer la donne en matière de détection des signes de rejet dans les greffes de rein. Des scientifiques américains de l’université Northwestern ont réussi à créer un dispositif, testé sur des souris, qui peut détecter les signes avant-coureurs d’un rejet de greffe de rein jusqu’à trois semaines avant les méthodes de surveillance actuelles…

Première transplantation réussie d’un rein de porc chez un patient humain

Première transplantation réussie d’un rein de porc chez un patient humain

Une équipe médicale américaine a réussi à transplanter un organe de porc dans le corps d’un être humain et elle a pu constater que cela fonctionnait.

L’équipe médicale a temporairement greffé un rein de porc à un corps humain et elle a observé comment il a commencé à fonctionner.

Cette nouvelle étude est un petit pas dans la quête, vieille de dix ans, d’utiliser un jour les organes d’animaux pour des « transplantations vitales ».

Les porcs ont été la cible la plus récente de la recherche visant à remédier à la pénurie d’organes, bien que les chercheurs…

Tricoter un morceau de greffe de peau humaine

Tricoter un morceau de greffe de peau humaine

Une équipe de chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) de Bordeaux a cultivé du fil à partir de cellules de peau humaine qu’ils appellent « textile humain » et qui pourrait être utilisé par les chirurgiens pour fermer des plaies ou confectionner des greffes de peau implantables.

Selon les chercheurs dans leur étude :

Ces textiles humains offrent un niveau unique de biocompatibilité et représentent une nouvelle génération de produits entièrement…

Doublon médico-légal : l’ADN de son sperme a été complètement remplacé par celui d’un autre homme

Doublon médico-légal : l’ADN de son sperme a été complètement remplacé par celui d’un autre homme

Voici une histoire fascinante sur les résultats inattendus d’une greffe de moelle osseuse.

Lorsqu’un patient reçoit une greffe de moelle osseuse, ses propres cellules sont remplacées par celles du donneur. Par la suite, le patient est une « chimère », avec deux ensembles d’ADN. On croit qu’à part aider le système immunitaire du receveur, l’ADN du donneur a peu d’impact sur le receveur, leur cerveau et leur personnalité devraient rester les mêmes…

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