Un ancien virus caché dans nos gènes pourrait jouer un rôle important dans certaines dépendances
Une version inhabituelle d’un rétrovirus, niché entre des gènes impliqués dans la chimie du cerveau, est plus courante chez les personnes ayant une dépendance aux drogues que dans le reste de la population.
Une équipe internationale de chercheurs a récemment publié une étude qui suggère qu’un ancien rétrovirus présent en plus forte proportion chez les personnes aux prises avec une dépendance à la drogue…