(Ironie de Guru) Malgré tout, il y a bien deux choses qu’on ne peut pas reprocher à la dictature Nord-Coréenne : d’une part sa pollution lumineuse qui est inexistante (le rêve de tout astronome), puisqu’ils ont décidé de laisser leur population dans l’obscurité (…) et, de ce fait, leur consommation électrique qui est ridicule en comparaison des pays voisins.
Accompagnant cette nouvelle image, obtenue le 30 janvier 2014, de la péninsule coréenne de nuit par un astronaute à bord de la Station Spatiale Internationale, la NASA nous indique que la consommation électrique, par habitant, de la Corée du Sud est de 10 162 kilowattheures et pour la Corée du Nord, de 739 kilowattheures.
Elle précise également que :
La terre sombre apparait comme s’il s’agissait d’une étendue d’eau rejoignant la mer Jaune à la mer du Japon. Sa capitale, Pyongyang, apparait comme une petite ile malgré une population de 3,26 millions (en 2008). L’émission de lumière de Pyongyang est équivalente aux petites villes en Corée du Sud.
A partir de l’Earth Observatory de la NASA : The Koreas at Night.
Pour contre balancer un minimum le titre on ne peut plus positif, je vous rappelle à tous que la Corée du Nord est un régime dirigé par les pire criminels de la planète.
Certes l’avantage pour l’astronomie est indéniable, mais le peuple souffre énormément d’atrocités qui vont au delà de ce que le régime nazi à fait. D’ailleurs ceux d’entre vous qui auraient lu des témoignages de déportés pendant la Seconde Guerre Mondiale, ce que vous avez découvert est très proche de ce qui se déroule en ce moment même en Corée du Nord.
A ce titre, j’ai lu le témoignage d’un prisonnier politique qui à réussi à fuir son camp de concentration Coréen, puis à fuir le pays pour finir par se réfugier en Corée du Sud. C’est bouleversant, d’autant plus que les faits ont été confirmés, corroborés, qu’il y a des dizaines de référence ; et que ce livre à été traduit dans 17 langues.
Il me parait important de connaitre aussi cette réalité dans le monde ou nous vivons.
« Rescapé du camp 14, de Blaine Harden », Editions 10-18