La NASA confirme la découverte de la première planète en “zone habitable”.
La mission Kepler (télescope spatial Kepler) de la NASA, a confirmé la découverte de sa première planète se trouvant dans une « zone habitable », la région autour d’une étoile où l’eau liquide pourrait exister sur la surface d’une planète. La planète nouvellement confirmée, Kepler-22b, est la plus petite jamais trouvé orbitant dans le milieu de la zone habitable d’une étoile semblable à notre Soleil. La planète fait environ 2,4 fois le rayon de la Terre.
Image d’entête : représentation artistique de Kepler-22b (NASA)
Les scientifiques ne savent pas encore si Kepler-22b a une composition essentiellement rocheuse, gazeuse ou liquide, mais sa découverte est une étape pour trouver des planètes ressemblant à la Terre.
Note : Comme vous pouvez l’entendre ou lire ici où là ce n’est pas la première planète observée dans la zone habitable d’une autre étoile, mais la première vue par Kepler, et de plus la première qui ne soit pas une géante gazeuse.
Un petit historique des découvertes et informations rapportées par la mission Kepler et diffusées par votre Guru :
– Juillet 2010 :
140 Planètes similaires à la terre, la révélation;
– Aout 2010 la
découverte d’une nouvelle planète qui ressemble à la Terre;
– Janvier 2011 : À
560 années-lumière de chez nous : la plus petite exoplanète détectée par la NASA
– Février 2011 :
Le télescope Kepler découvre 1200 exoplanètes possibles, dont un mini système solaire ; notre galaxie contient 50 milliards de planètes et 500 millions d’entre elles pourraient contenir la vie ; les planètes errantes pourraient contenir la vie ;
– Mars 2011 :
Image : Toutes les planètes pouvant contenir la vie orbitant autour de leurs Soleils;
– Mai 2011 :
Les astronomes américains commencent à rechercher de la vie extra-terrestre sur 86 planètes ;
– Aout 2011 :
La plus sombre de toutes les planètes découvertes, absorbe presque 100% de la lumière qui l’atteint ;
– Septembre 2011 :
50 nouvelles exoplanètes détectées. (Vidéo) ; Tatooine : découverte de la planète qui profite d’un double coucher de soleil. (Vidéos)
Des recherches antérieures prévoyaient l’existence de planètes, de la taille de la Terre, dans les zones habitables, mais une confirmation claire restait problématique. Deux autres petites planètes, orbitant autour d’étoiles plus petites et plus froides que notre Soleil, ont récemment été confirmées sur les bords même de la zone habitable, avec des orbites ressemblant étroitement à celles de Vénus et de Mars.
Kepler a également découvert plus de 1000 nouvelles planètes candidates, doublant presque son nombre déjà connu. Dix de ces candidates sont proches de la taille de la Terre et orbitent dans la zone habitable de leur étoile hôte. Les candidates nécessitent un suivi des observations afin de vérifier qu’elles sont réellement des planètes. ”C’est une étape importante sur la voie pour trouver une jumelle de la Terre”, a déclaré Douglas Hudgins, scientifique du programme au Siège de Kepler de la NASA à Washington.
Kepler découvre des planètes et des planètes candidates, en mesurant les assombrissements dans la luminosité de plus de 150 000 étoiles en recherchant des planètes qui traversent en face, ou “en transit”, les étoiles. Kepler nécessite au moins trois transits pour confirmer le signal comme étant une planète. « La fortune nous sourit à la détection de cette planète », a déclaré William Borucki, chercheur principal Kepler au centre Ames Research de la NASA à Moffett Field, en Californie, qui a dirigé l’équipe qui a découvert Kepler-22b. “Le premier transit a été capturé seulement trois jours après que nous ayons déclaré la sonde opérationnellement prête.”
L’équipe scientifique de Kepler utilise les télescopes au sol et le télescope spatial Spitzer pour examiner les observations sur les planètes candidates que la sonde Kepler trouvent. Le champ d’étoiles que Kepler observe dans la constellation du Cygne et de la Lyre ne peut être vu à partir des observatoires terrestres au printemps et à l’automne. Les données de ces autres observations aident à déterminer quelles candidates peuvent être validées comme des planètes.
Kepler-22b est situé à 600 années-lumière. Alors que la planète est plus grande que la Terre, son orbite de 290 jours autour d’une étoile semblable au soleil, ressemble à celle de notre monde. L’étoile hôte, de la planète, appartient à la même classe que notre soleil, appelé type G (ou naine jaune), même si elle est légèrement plus petite et plus froide, enfin moins chaude.
Sur les 54 planètes candidates en zone habitable rapporté en février 2011, Kepler-22b est la première à être confirmée. Cette étape sera publiée dans l’Astrophysical Journal.
L’équipe de Kepler tiendra sa conférence inaugurale au science Ames du 5 au 9 décembre, en annonçant de nouvelles découvertes (1094 planètes candidates). Depuis le dernier catalogue a été publié en février (lien bas de cet article), le nombre de planètes candidates identifiées par Kepler a augmenté de 89 % et s’élève désormais à 2326. Parmi elles, 207 sont à peu près de la taille de la Terre, 680 sont beaucoup plus grandes, 1181 de la taille de Neptune, 203 sont de la taille de Jupiter et 55 sont plus grosses que Jupiter.
Les résultats, basés sur des observations conduites de 2009 à 2010, montrent une augmentation spectaculaire du nombre de planètes candidates de plus petite taille.
Kepler ayant eu plus de temps pour observer les trois transits de planètes avec de plus longues périodes orbitales, les nouvelles données suggèrent que les planètes sont d’une à quatre fois la taille de la Terre et pourraient être abondantes dans la galaxie.
Le nombre de planètes candidates de la taille de la Terre et plus grandes, a augmenté de plus de 200 et 140 % depuis février. Il y a 48 planètes candidates en zone habitable de leur étoile. L’équipe de Kepler a appliqué une définition plus stricte de ce qui constitue une zone habitable dans le nouveau catalogue (lien ci-dessous), pour tenir compte de l’effet de réchauffement de l’atmosphère, déplaçant ainsi la zone loin de l’étoile, hors des périodes plus orbitales.
Le catalogue de l’habilité des planètes à, notamment, être habitable : The Planetary Habitability Laboratory.
À partir de la NASA : NASA’s Kepler Mission Confirms Its First Planet in Habitable Zone of Sun-like Star et sur le jet propulsion laboratory : NASA’s Kepler Confirms Its First Planet In Habitable Zone.
DECOUVERTE DE L’EXOPLANETE KEPLER 22B UNE SŒUR JUMELLE DE LA TERRE
En 2011 les chercheurs et ingénieurs de la NASA ont découvert un Système Planétaire situé à 620 al (distance D) de notre Système Solaire grâce au Télescope Spatial KEPLER lancé en 2009 depuis les USA par la NASA, ainsi le système planétaire a été surnommé KEPLER pour faire hommage au Télescope Spatial et surtout à l’Astrophysicien Johannes Kepler né en 1571 et décédé en 1630, les 620 al sont la distance du Centre d’Inertie de notre Soleil au Centre d’Inertie de l’Etoile du Système Planétaire Kepler. Dans la zone habitable de Kepler se trouve une exoplanète tellurique très semblable à notre Terre baptisée Kepler 22b par les scientifiques, son rayon est 2,38 fois plus grand que le rayon de la Terre, ce qui veut dire que son volume est 13,48 fois plus important. (V = 4PI.R^3/3) avec PI = 3,141592654. Kepler 22b est une exoplanète où la couleur bleue prédomine de petites tâches blanches, elle se situe dans la zone habitable de son étoile, elle est suffisamment éloignée pour éviter que l’eau soit vaporisée et éjectée vers l’espace et suffisamment proche pour que l’eau ne s’y trouve pas à l’état solide sur toute la planète. Pour atteindre Kepler 22b il faudrait 620 années à un vaisseau spatial se déplaçant à la vitesse de la lumière, ce qui est hors de notre portée scientifiquement et techniquement parlant.
D = 620 al
D = 620 X 365 X 24 X 3600 X 300.000.000 mètres soient 5,87 E15 km
Kepler-22b est donc une exoplanète en orbite autour de Kepler-22, une étoile de la séquence principale et de type spectral G5, semblable au Soleil mais de métallicité moitié moindre elle se situe dans la constellation du Cygne. Il s’agit de la première planète découverte par le télescope spatial Kepler dans la zone habitable d’une naine jaune, La composition de l’atmosphère joue aussi sur la distance D: une atmosphère chargée en gaz à effet de serre et donc réchauffée peut maintenir l’eau à l’état liquide, même si la planète est plus éloignée de son étoile. La probabilité de trouver sur Kepler 22b de la vie organique est élevée, dommage qu’elle soit tant éloignée de la Terre. Dans le pavé de texte à caractère scientifique THEORIE DE L’INFINI VERSION ALAIN MOCCHETTI, il est écrit qu’il y a eu dans le passé une infinité de Big Bang suffisamment espacés pour éviter toute interférence entre 2 galaxies issues de Big Bang différents et dans le futur, il y aura une infinité de Big Bang avec les mêmes caractéristiques que le passé. Ainsi, l’Univers est infini dans les sens du terme, infinité de Big Bang, infinité de Galaxies, infinité d’Etoiles, infinité d’Exoplanètes du type tellurique, infinité de Géantes Gazeuses, mais aussi infinité de Trous Noirs………
Alain Mocchetti
Ingénieur en Construction Mécanique & en Automatismes
Diplômé Bac + 5 Universitaire (1985)
UFR Sciences de Metz
alainmocchetti@sfr.fr
alainmocchetti@gmail.com
@AlainMocchetti
IL EXISTE UNE INFINITE DE PLANETES HABITEES PAR DE LA VIE ORGANIQUE – DEMONSTRATION PAR RECURRENCE
Qu’est un raisonnement par récurrence ? Le raisonnement par récurrence établit une propriété importante des entiers naturels : celle d’être construits à partir de 0 en itérant le passage au successeur. Dans une présentation axiomatique des entiers naturels, il est directement formalisé par un axiome. Moyennant certaines propriétés des entiers naturels, il est équivalent à d’autres propriétés de ceux-ci, en particulier l’existence d’un minimum à tout ensemble non vide (bon ordre), ce qui permet donc une axiomatisation alternative reposant sur cette propriété. Certaines formes de ce raisonnement se généralisent d’ailleurs naturellement à tous les bons ordres infinis (pas seulement celui sur les entiers naturels), on parle alors de récurrence transfinie, ou de récurrence ordinale (tout bon ordre est isomorphe à un ordinal), le terme d’induction est aussi souvent utilisé dans ce contexte. Le raisonnement par récurrence peut se généraliser enfin aux relations bien fondées. Dans certains contextes, en logique mathématique ou en informatique, pour des structures de nature arborescente ou ayant trait aux termes du langage formel sous-jacent, on parle de récurrence structurelle. On parle communément de récurrence dans un contexte lié mais différent, celui des définitions par récurrence de suites (ou d’opérations) à argument entier. Si l’unicité de telles suites se démontre bien par récurrence, leur existence, qui est le plus souvent tacitement admise dans le secondaire, voire les premières années universitaires, repose sur un principe différent. Si vous désirez vous spécialiser dans la Formulation par Récurrence, acheter un ou des Manuels de Mathématiques niveau Terminale S. Autrefois la Formulation par Récurrence était enseignée en Terminale C et en Terminale E.
Démontrons présentement que l’Univers comprend une infinité de Planètes Telluriques ou Exoplanètes qui abritent de la Vie Organique à l’aide de la THEORIE SUR L’INFINI VERSION ALAIN MOCCHETTI :
– Formulation indice 0 : la Terre est la 3ème Planète Tellurique du Système Solaire, la Vie sous Forme Organique foisonne sur la Planète Bleue, formulation qui est vraie,
– Formulation indice 1 : la Planète Kepler 22B du Système Planétaire Kepler abrite également de la Vie Organique, formulation vraie avec un taux de probabilité de 0.9999999999, Kepler 22B est située à 620 al (année-lumière), l’eau à l’état liquide occupe presque la totalité de l’Exoplanète et Kepler 22B abrite à l’instar de la Terre de la Vie Organique sous des centaines de milliers de formes différentes,
– Formulation indice n : une n ème exoplanète abrite de la Vie Organique, considérons cette formulation vraie,
– Formulation indice (n+1) : une (n+1) ème exoplanète abrite de la Vie Organique, formulation qui est forcément vraie au vu de LA THEORIE DE L’INFINI VERSION ALAIN MOCCHETTI. Nous venons de démontrer que l’Univers comprend une infinité de Planètes Telluriques ou Exoplanètes qui abritent pour chacune d’entre elles, de la Vie Organique.
Dans l’état actuel de nos connaissances, nous ne connaissons pas encore d’Exoplanètes ou de Géantes Gazeuses qui abritent de la VIE SOUS AUTRE FORME, dès que nous aurons localisé 2 Planètes habitées par de la VIE SOUS AUTRE FORME, il suffira de faire un Raisonnement par Récurrence pour démonter qu’il existe une infinité de Planètes dans l’Univers qui abritent de la VIE SOUS AUTRE FORME. Suite dans une prochaine rubrique THEORIE DE L’INFINI VERSION ALAIN MOCCHETTI.
Alain Mocchetti
Ingénieur en Construction Mécanique & en Automatismes
Diplômé Bac + 5 Universitaire (1985)
UFR Sciences de Metz
alainmocchetti@sfr.fr
alainmocchetti@gmail.com
@AlainMocchetti
THEORIE DE L’INFINI VERSION ALAIN MOCCHETTI
L’espace temps est un système mathématique d’ordre 4 (espace : 3 dimensions, temps : 1 dimension). On va se limiter à l’espace-temps tel que l’homme le connaît, donc on fait abstraction des mondes dits parallèles, des trous de ver, des trous noirs, des courbures dans l’espace-temps et de tout autre phénomène physique non expliqué jusqu’à aujourd’hui. En commençant par le temps t, il est infini autant vers le passé que vers le futur, il suffit pour cela d’opérer un raisonnement par récurrence. Quant à un espace à 3 dimensions, on distingue l’infiniment petit de l’infiniment grand. Nos connaissances actuelles dans la Science nous font dire que l’Univers tel qu’on le connaît est issu d’un seul bing-bang. Et bien non, dans le passé il y a eu une infinité de bing bangs suffisamment espacés géographiquement parlant pour éviter toutes interférences entre des galaxies issues de bings-bangs différents et dans le futur, il y aura aussi une infinité de bings-bangs avec les mêmes caractéristiques que le passé, l’Univers est infini dans tous les sens du terme. Il y a une infinité de galaxie, une infinité d’étoiles, une infinité d’exoplanètes dites telluriques et une infinité de planètes gazeuses. Le nombre de système planétaire est infini. Par récurrence, on démontre qu’il y a de la vie organique et de la vie sous autres formes sur une infinité d’exoplanètes. La distance qui sépare deux planètes telluriques habitées peut être cyclopéenne mais peut-être moindre (planètes habitées proches l’une de l’autre), les vitesses des vaisseaux spatiaux actuels (ORION) nécessitent des centaines de milliers d’années pour atteindre la première exoplanète présumée habitée de la Terre. Les scientifiques vont devoir mettre au point l’hibernation qui nécessitera des dizaines de siécles de recherche scientifique pour espérer aller sur l’exoplanète habitée la plus proche de notre système solaire. D’autre part, il va falloir dans des millénaires voyager à la vitesse de la lumière et d’avantage ce qui est impossible aux vues des équations de la mécanique relativiste d’Einstein. Pourvu qu’Albert Einstein se soit trompé dans ses très complexes équations.
Alain Mocchetti
Ingénieur en Construction Mécanique & en Automatismes
Diplômé Bac + 5 Universitaire (1985)
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