Détente : hurler en jouant au tennis, améliore les performances.
Une petite découverte sportive pour se détendre un peu…
Il a longtemps été une source d’irritation pour les adversaires et les fans de tennis. Mais le cri du ou de la joueuse de tennis pourrait effectivement améliorer son jeu, en améliorant la puissance de leurs coups.
Une nouvelle recherche affirme que les grognements contrôlés ont des avantages physiologiques, en augmentant la stabilité de base et la force.
La professeure Alison McConnell de l’Université Brunel, Londres, a déclaré : “En inhalant avant que la balle soit touchée, puis criée au moment de l’impact, la gorge du joueur se rétrécit, en gardant un peu de vent dans les poumons, pour améliorer la force de base et l’équilibre”.
Pourquoi ce sont surtout les femmes qui crient (lors d’un match de tennis, j’entends !) ? :
La première joueuse de tennis célèbre, à hurler, était Monica Seles quand elle a été condamnée à baisser d’un ton, lors de la finale de 1992 de Wimbledon, face à Steffi Graf.
McConnell, estime qu’il est plus fréquent chez les femmes que les hommes, parce que la partie supérieure du corps des femmes, est généralement plus faibles et nécessitent donc un contrôle et une stabilité, grâce à des techniques de respiration.
Voici l’extrait le plus criant, d’un match entre Venus Williams et Maria Sharapova :
Les plus connues sont : Maria Sharapova (vidéo ci-dessus), Russe de 24 ans avec 100 décibels au compteur, plus bruyante qu’un petit avion. Serena Williams, 29 ans, qui a 90 décibels. Michelle Larcher de Brito a été enregistrée à 109 décibels, ce qui est presque le rugissement d’un lion (110 décibels).
Publiée sur le site de l’université Brunel, à Londre : Why do female tennis players grunt ?